|
|
Texte 2011
Etrange, étrange, ta voix raisonne dans mon âme
Mon ange, mon ange, tu chuchotes un air de drame
Ecoute, écoute, et vois plus loin que moi
Nul doute, sans doute, un jour tu m'oublieras
Attends, l'attente, elle, ne s'en fini pas
Le vent, violent, qui m'écarte les bras
Toujours, amour, toujours en venant vers toi
Adieu, les adieux, que je ne te ferais pas...
Etrange, étrange, que tu dis, que tu crois
Mon ange, mon ange, si tu savais te passer de moi
Ecoute, écoute, ce que je te raconte là
Nul doute, sans doute, un jour tu m'oublieras
Attends, l'attente, te dépose toujours là
Le vent, violent, qui te frôle comme mes doigts
Toujours, amour, toujours en te voyant comme ça
Adieu, les adieux, que je ne te ferais pas ...
Etrange, étrange, tu l'as dit à bien d'autre que moi
Mon ange, mon ange, et tu leurs glisse tout bas
Ecoute, écoute, elle n'est plus rien pour moi
Nul doute, sans doute, que par moment tu y crois
Attends, l'attente, dont je fais preuve pour toi
Le vent, violent, qui m'éloigne et m'égare par là
Toujours, amour, en vivant loin de toi
Adieu, les adieux, que je ne te ferais pas ...
________________________
Que dis tu à ces autres, que je ne saurais te répéter
Si tout est de ma faute, je veux bien en jouer
Faire rire ou pleurer, tu choisiras l'usage
De ces maux déplacés, qui en perdent leur age
Qu'attends tu, que sais tu, et dis moi de ces choses
De ces amours foutus, dont tu te gaves en overdose
D'un battement de cil, ou je ne comprends plus que toi
Dis moi si sur ton ile, reste une place pour moi
Petite, invisible, je me ferais, sur tes plaines
Et bien qu'impossible, je m'y essaierai quand même
Va leur dire, va, dis leur que je reviens
Qu'il leur est inutile, de te rattraper par la main
Dis leur fort, dis à tous, que je reprends mes droits
Et pour moi fais toi douce, et donne toi à moi
Si tu m'aimes comme je t'aime, et je n'aime que toi
Des plaisirs des poèmes, je te ferais vivre crois moi
Et au matin, petit jour on mettra de côté
Ces souvenirs mon amour, pour enfin s'oublier
S'oublier oui bien sure, ça parait si facile
Mais d'aventure en usure, tu ne tombes pas du fil
Raconte moi doucement, ce qui fait te fait bruler
Vibrer, vivre, ou encore reculer
Je suis là, je suis là, je ne partirai nul part
Mais toi, toujours toi, tu reviens du brouillard
Des bagages pleins le dos, des humeurs à tuer
Toi tu l'aimais un peu trop, moi je n'ai pas cessé ...
__________________________
Putain, mais qu'est ce que je fous là
Dans ce monde qui veut pas de moi
Me met à l'épreuve du temps
Qui ne s'arrête jamais longtemps
Et qui m'embarque dans ses histoires
J'ai du m'y perdre quelque part
Les souvenirs restent et puis nous tuent
J'y crois pas qu'un jour j'y ai cru ...
Regarde ces gens tous si idiots
A toujours dire un mot de trop
Sans réfléchir avec leur science
ça me fait vomir moi quand j'y pense
Putain mais qu'est ce qui nous est arrivé
A peine le temps de sourire qu'on a pleuré
Un coup de vent sur nos têtes
Les jours passent trop vite, peut être
Et c'est pas à nos âges qu'on répare
Bien trop occupé autre part
Pas le temps de reconstruire le monde
Alors vas y, laisse s'écouler les secondes
Des secondes qui deviendront des années
Sans jamais plus se rapprocher
Sans jamais plus se reconnaitre
Juste avec ce putain de mal être
Putain, putain mais t'es qui toi ?
Pour avoir autant d'emprise sur moi
Quand j'y pense et que tu m'oublies
Quand j't'oublie pas et que tu souris
Et que tu décrocherais la lune
Dans tes phrases il n'y en a pas une
Que je pourrais croire comme réelle
Putain t'as perdu tes merveilles ...
____________________________
C'est navrant de se dire, qu'un jour on s'aimera plus
Qu'on a beau se sourire, ce n'est que du temps perdu
Qu'on peut se tendre la main, pour après la reprendre
Qu'il n'y a rien de certain, et qu'on ne peut s'en défendre
C'est curieux je dois dire, de te regarder dans les yeux
Puisque un jour sans frémir, on se regardera trop peu
Puisque un jour tu le sais, mon amour dans la haine
On s'enverra valser, les fragments de nos peines
Et l'on s'entendra se dire, que jamais plus jamais
On ne pourra sourire, à l'idée d'y repenser
Et l'on se verra souffrir, à jamais déchiré
Comme je vais te maudire, comme tu vas me briser
C'est navrant de savoir, qu'un jour ce sera fini
Qu'on a beau se vouloir, ça n'engage qu'aujourd'hui
Qu'on peut tout se donner, pour enfin tout reprendre
Quand on a tout voler, il n'y a plus qu'à se rendre
C'est curieux j'en conviens, de te dire ces mots doux
Puisqu'il ne restera rien, qu'un souvenir un peu flou
Puisque une nuit pour dormir, on rèvera d'ailleurs
On se donnera le pire, démunit du meilleur
_____________________________
Dans le silence de la nuit
Y a t il un sens à tout ça ?
Ou tu pleures et je m'enfuis
Ou je ris et tu t'en vas
Peut être que rien ne suffit
Y a t il un sens à tout ça ?
Je suis en veille à l'infini
Et tu ne veilles pas sur moi
Mais qu'importe tu le dis
Y a t il un sens à tout ça ?
Quand tu cries, oui quand tu cries
Et que je ne t'entends pas
Moi j'suis soleil, tu es la pluie
Y a t il un sens à tout ça ?
Pourquoi s'aimer cette nuit
Si demain ne revient pas
Alors dis moi, s'il y a un sens
Alors jure moi, dans ton silence
Qu'il existe quelque part
Un morceau d'espoir
Qu'on oublie pas dans l'absence
Mais dis moi, y a t il un sens ?
Et perdu dans les fantaisies
Y a t il un sens à tout ça ?
Ou l'on donnerait sa vie
Pour ce qui n'existe pas
Je meurs d'insomnie
Y a t il un sens à tout ça ?
Et toi tu vis, toi tu le vis
Tellement mieux que moi
Tu donnes à ton ennui
Y a t il un sens à tout ça ?
Bien plus qu'à mes envies
Des p'tits morceaux de toi
Et si je reste par ici
Y a t il un sens à tout ça ?
Ou je pleure et tu t'enfuis
Ou je ris et tu t'en vas
Alors dis moi, s'il y a un sens
Alors jure moi, dans ton silence
Qu'il existe quelque part
Un morceau d'espoir
Qu'on oublie pas dans l'absence
Mais dis moi, y a t il un sens ?
Moi je crèverai aujourd'hui
Y a t il un sens à tout ça ?
Et tu me pleureras cette nuit
Me regrettant ici bas
Quand vivante j'étais l'oubli
Y a t il un sens à tout ça ?
Je deviens soudain, magie
Le centre de tout pour toi
_______________________
Coincé là juste ici, entre eux et tes bras
Pour chacune des folies, un prix que l'on devra
Et payer par l'épaule, tu sais ça ne sert pas
On a jamais le beau rôle, jamais plus que soi
Entre morte et sans vie, ou je ère comme tu vois
A faire semblant aussi, que ça ne me touche pas
A rire en poésie, comme l'on attend de moi
C'est ainsi qu'on oubli, mais qui ne m'oublie pas ?
Sans réponse les questions, ou l'on cherche tout bas
Pour comprendre le frisson, ne me demande pas
Si je cherche encore, ou si du bout de mes doigts
J'ai frôlé sans effort, la vérité que l'on nous doit
Coincé là juste ici, entre eux et ta voix
Dans la vie tu choisis, quand tu hésites tout bas
Et l'erreur à bon dos, elle nous excusera
Jusqu'à celle de trop, qui ne pardonne pas
Entre peur et conflit, ou je ère comme tu vois
A faire semblant aussi, que ça ne me touche pas
A dire en poésie, comme l'on attend de moi
C'est ainsi qu'on oublie, mais qui ne m'oublie pas ?
Des mystères toujours, dans le ton de leur voix
Qu'on nous parle d'amour, d'amitié ou de soi
Oui je cherche encore, mais ne le répète pas
On sait quand on s'endort, pas quand on se réveillera
Coincé là juste ici, entre eux et ma croix
Tu sais le diable la nuit, n'a pas peur du froid
Le temps nous guérit, on ne demande que ça
Et à attendre ainsi, on ne s'en remet pas
A faire semblant aussi, que ça ne me touche pas
Entre peine et plaisir, ou je ère comme tu vois
Le pire en poésie, c'est que l'on attend que ça
C'est ainsi qu'on oublie, mais qui ne m'oublie pas ?
Des cimetières partout, Tous mes morts sans combat
Quand je suis à genoux, qu'ils ne s'arrêtent pas
Et je cherche à jamais, et ce malgré moi
On sait quand on né, pas quand on partira ...
_______________________________
|
|