|
|
Textes écrit en 2008
Pleurant loin du rivage, ou je vis mille saisons
De la pluie à l'orage, il y a toujours ton nom
Tu fais ce que tu veux, emprise sur mon corps
Des larmes dans mes yeux, au fond un peu morts
Il y a sous les dentelles, une histoire caché
De celles que l'on trouve belles, qui font mal a crever
Il y a de doux amours, et ceux qui vous tue un peu
Ceux qui nous tue toujours, qui ne finissent pas à deux
Amour dans la délivrance, de mon âme a la tienne
Tu emportes tous mes sens, me laissant à ma haine
Amour ferme ton coeur, ne me regarde plus
Ne brises plus mes heures, ne gache plus ma vue
Il faut cent mille années, pour se guérir de toi
Pour enfin accepter, s'offrir à d'autres bras
Qu'on aimera un peu moins, que l'on chérira plus fort
Par peur d'un autre chagrin, car mon amour est mort
Pleurant loin de la ville, ou je tue mes émotions
L'amour que c'est futile, et fait perdre la raison
Tu fais ce que tu désires, la prison de mes nuits
Des peurs et des soupirs, a qui jamais ne sourit...
Amour, si tu t'en va, que tu laisses au derrière
Des morceaux de toi, que tu sèmes un enfer
Amour si je te haie, si souvent l'on te déteste
Si seulement tu savais, combien ta douleur reste
Priant que plus jamais, plus jamais ne revienne
Ce goût non modéré, pour que l'amour me prenne
Les sanglots bien trop long, les soirs de solitude
A perte de vue l'horizon, et toutes nos lassitudes
Amour, enfin veux tu, oublier jusqu'à mon nom
Mon ombre ne projette plus, que ma désolation
Amour si tu m'oublies, si tu me passes à côté
Ne frappe pas à ma vie, laisse moi te détester...
|
|